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The Pacific Islands: an analysis of the status of species as listed on the 2008 IUCN Red List of Threatened Species: American Samoa, Cook Islands, Fiji, French Polynesia, Guam, Kiribati, Marshall Islands, Federated States of Micronesia, Nauru, New Caledonia, Niue, Norfolk Island, Northern Mariana Islands, Palau, Papua New Guinea, Pitcairn Island, Samoa, Solomon Islands, Tokelau, Tonga, Tuvalu, US Minor outlying islands, Vanuatu, Wallis and Futuna
Climate Change Resilience, Island and Ocean Ecosystems, BRB
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Pippard, Helen

2009
The Pacific islands of Oceania cover almost 15% of the world’s surface and are characterised by a high degree of ecosystem and species diversity. The region is characterised by thousands of isolated small coral atolls and higher volcanic islands, which has led to the high diversity of species found today. In fact, the number of plants and animals found nowhere else on earth (endemic species) is extremely high - often up to 90% for particular groups. Often, these rare and endemic species are adapted to specialised habitats and limited to small areas of a few islands. With economic and cultural dependence on the natural environment very high in the Pacific islands, along with a rapidly expanding human population, there are everincreasing demands on the region’s natural resources. Plant and animal species are therefore very vulnerable to extinction from climate change, competition from introduced (invasive) species and human impacts such as habitat destruction, over-harvesting of species and pollution.
ECOLOGIE ET IMPACTS D’UN PREDATEUR INTRODUIT AU SEIN D’UN HOT-SPOT MONDIAL DE BIODIVERSITE - LE CHAT HARET FELIS CATUS DANS L’ARCHIPEL NEO-CALEDONIEN
BRB
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Pauline Palmas

Le chat haret est l’un des prédateurs invasifs les plus dommageables pour la biodiversité insulaire. Sa présence est associée à une perte de biodiversité sur l’ensemble des îles sur lesquelles il est établi, et où il constitue une menace pour de nombreuses espèces de vertébrés souvent endémiques et menacés. En Nouvelle-Calédoniedes populations de chats harets sont présentes dans tous les milieux et habitats et l’étude de son écologie et de ses impacts sur la faune ont fait l’objet de ce travail de thèse. L’analyse du régime alimentaire sur 14 sites d’études représentatifs des 4 habitats majeurs a révélé un régime très diversifié et une forte prédation sur les vertébrés natifs et notamment sur le groupe des scinques, des roussettes et des pétrels. Parmi les 44 espèces de vertébrés retrouvées dans le régime alimentaire de ce prédateur invasif, la plupart sont endémiques et 20 sont listées comme menacées sur la liste rouge mondiale de l’UICN. Le suivi des déplacements d’une dizaine d’individus équipés de colliers GPS au niveau d’une presqu’île de la côte ouest abritant une importante colonie d’oiseaux marins, a permis de mettre en évidence de grands domaines vitaux pour les mâles, des domaines vitaux petits pour les femelles et des patrons de déplacements importants liés aux différentes étapes du cycle reproducteur des oiseaux marins. Ces éléments, couplés aux analyses de régime alimentaire suggèrent une prédation à la fois sur les adultes reproducteurs mais également sur les jeunes oiseaux proches de l’envol, et ceci à une large échelle géographique puisque certains des chats harets concernés avaient le coeur de leur domaine vital situé à plus de 3km de la colonie. Une opération expérimentale de contrôle d’une population de chats harets a été conduite sur cette presqu’île et a montré une faible durabilité des effets de la suppression des individus sur les densités observées et une rapide recolonisation du site. Les résultats de ce travail plaident pour la mise en place de mesures de limitation des impacts occasionnés et permettent en particulier de cibler les habitats de maquis et forêt humide comme prioritaires en matière de limitation des abondances. Ces travaux nous éclairent également sur l’emprise spatiale et l’intensité des futures mesures de contrôle à conduire dans le contexte d’îles de grande superficie et fortement envahies.